ANNONCES :

 

La Rubrique "Prière",

les litanies du Précieux Sang,

un bouclier invincible contre l'ésotérisme...



Bienvenue sur mon site.

 

« Mot d’accueil du webmestre »

 

Helena est écrivain depuis toujours. Mais c’est moi qui l’ai encouragée à créer son site d’auteur. Sous le nom de Helena Zawerbny’z, elle a publié un roman intitulé « Bangala, Ô Bangala je t’ai perdu » actuellement aux éditions KDP Amazon.

 

Helena Zawerbny’z est un pseudo, vous l’avez compris. Un pseudo à deux degrés : Helena Zawerbny, pseudo auquel elle voulait accoler le nom de son ancien mari, même si c’était faire beaucoup d’honneur à un pervers narcissique parce que Helena est un écrivain de grand talent. Son éditeur a refusé, estimant que, même si son livre est classé dans la catégorie des « romans », son avocat de mari n’aurait pas de mal à s’y reconnaître, et il voudrait sûrement lui intenter un procès pour faire enlever son livre des rayons ; c’était déjà arrivé.

 

Qu’à cela ne tienne ! Helena a biffé les lettres en les remplaçant par une apostrophe. Elle leur a dit : « OK, je ne dirai pas les cinq lettres ! » Elle a toujours eu le sens de l’humour…

 

Mais elle a tenu à garder le « z » final du nom de son ancien mari. Elle a expliqué que le nom d’auteur de son livre commencerait ainsi par un « Z » majuscule pour se terminer par un « z » minuscule. C’était étrange, cette fantaisie. L’éditeur, au début, a cependant écrit sur la maquette du livre le nom entier en majuscules, ce qui faisait que le nom commençait et se terminait par un grand « Z ». Elle a alors expliqué que la graphie était en elle-même un message donné aux francs-maçons : si son nom d’auteur avait commencé par un Z majuscule et s’était terminé également par un Z majuscule, cela aurait signifié que « tout allait recommencer comme avant ». Tandis que « Z-z » ça veut dire « j’en ai fini avec vous, les francs-macs ».

 

Comment elle savait ça, je vous le demande ? Elle a répondu que dans son livre elle allait expliquer bien d’autres choses encore concernant les francs-maçons.

 

Mais, comme Monsieur Loyal au cirque, je vais dire « Rideau » et que paraisse Helena…

 

Et la voilà, Helena, qui arrive en riant : elle dit que, si leurs activités n’étaient pas aussi pernicieuses sous leurs oripeaux d’hypocrisie, on pourrait penser que tout ce qu’ils font tient du cirque, c’est bien vrai. D’ailleurs ces messieurs eux aussi ont crié « Rideau ! » à son adresse… Mais ce qu’ils voulaient dire, eux, c’était « rideau de fer » à tirer devant elle pour l’empêcher de causer. Tandis que moi j’adore l’écouter causer de tout ce qu’elle a vécu, parce que, avec des choses tristes et même tragiques, elle réussit à vous faire rire et à vous donner l’espérance dans la vie.

 

On voulait étouffer la voix d’Helena ? Oui, mais voilà, en juin 2005, elle a glissé entre les doigts de son pervers de mari. Il était si furieux de sa fuite qu’il a rameuté toutes les hyènes qu’il a pu trouver pour les lancer à ses trousses. Depuis la loi de juillet 2010 ça s’appelle « pratiquer le harcèlement aggravé ». Ou « stalking », car les américains ont pénalisé ce délit bien avant nous. Mais, de lieu de refuge en lieu de refuge, elle a écrit les pages du roman de sa vie. Elle avait la volonté farouche de laisser son témoignage. A ses filles, d’abord. A toutes les femmes dans sa situation, ensuite. Son livre commence par un court prologue que j’ai enregistré pour vous le faire entendre…